24 décembre 2015

Vous avez dit, clash des civilisations?


Le prologue de Jean nous montre un Dieu qui prend un risque inouï, celui de ne pas être compris, de ne pas être accueilli. Un Dieu qui, dès le commencement, par principe, ne veut pas s'imposer. Un Dieu qui met en avant la liberté de sa créature.
Un Dieu qui prend part à l'histoire des humains, dans tout ce qu'elle a de tragique, encore et encore. "Et la Parole s'est faite chair".