Le prologue de Jean nous montre un Dieu qui prend un risque inouï, celui de ne pas
être compris, de ne pas être accueilli. Un Dieu qui, dès le
commencement, par principe,
ne veut pas s'imposer. Un Dieu qui met en avant la liberté
de sa créature.
Un Dieu qui prend part à
l'histoire des humains, dans tout ce qu'elle a de tragique,
encore et encore. "Et la Parole s'est faite chair".